• Préface de Jacques-Xavier Aymon
• Introduction générale
• PARTIE 1 : OMBRES
• Introduction – 1 The Searchers. John Ford, 1956. Ombre ouverte sur le paysage – 2 Vertigo. Alfred Hitchcock, 1958. Le double de l’ombre chinoise – 3 The Night of the Hunter. Charles Laughton, 1955. Contre-jour de l’angoisse – 4 East of Eden. Elia Kazan, 1952. Ombre de choc émotionnel – 5 Psycho. Alfred Hitchcock, 1960. L’ombre projetée d’un couteau – 6 Cat People. Jacques Tourneur, 1942. Vision furtive d’une ombre féline – 7 The Set-Up. Robert Wise, 1949. Pouvoir de suggestion – 8 Kiss Me Deadly. Robert Aldrich, 1955. Énormes ombres projetées sur le sable – 9 White Heat, Raoul Walsh. 1949. Explosion à contre-jour – 10 The Big Combo. Joseph H. Lewis, 1955. Ombre ondulée – 11 Lola Montès. Max Ophu¨ls, 1955. Solitude dans l’ombre d’un chapiteau – 12 Amadeus. Miloš Forman, 1984. L’ombre du dépit – 13 The Curious Case of Benjamin Button. David Fincher, 2008. Contre-jour à contre-temps – 14 Predator. John McTiernan, 1987. L’ombre de la survie – 15 Distant Drums. Raoul Walsh, 1951. Ombres dans la nuit bleue – 16 Fat City. John Huston, 1972. Être l’ombre de soi-même – 17 Faces. John Cassavetes, 1968. Duplicité de l’ombre – 18 Out of the Past. Jacques Tourneur, 1947. Peindre des ombres en mouvement – 19 The Roaring Twenties. Raoul Walsh, 1939. Ombres de l’interdit – 20 The Magnificent Amberson. Orson Welles, 1942. Des ombres comme symboles de la mort – 21 Rear Window. Alfred Hitchcock, 1954. L’ombre d’un baiser – 22 Goodfellas. Martin Scorsese, 1990. Fascination des ombres du mal – 23 Minority Report. Steven Spielberg, 2002. Un contour lumineux dessine des visages – 24 La Nuit américaine. François Truffaut, 1973. Dans l’ombre du créateur
• PARTIE 2 : LUMIÈRES
• Introduction – 1 The Bridges of Madison County. Clint Eastwood, 1995. Sans lumière ni ombres – 2 Saving Private Ryan. Steven Spielberg, 1998. Contraste: lumière douce sur lumière crue – 3 Kiss Me Deadly. Robert Aldrich, 1955. Une boîte mystérieuse d’où fuse la lumière – 4 Laura. Otto Preminger, 1944. Lumière jaillissant d’un projecteur – 5 A Streetcar Named Desire. Elia Kazan, 1951. L’ampoule de la révélation – 6 The Man Who Shot Liberty Valance. John Ford, 1962. Une allumette éclaire le passé – 7 Sunset Boulevard. Billy Wilder, 1950. Nuage de lumière – 8 Suspicion. Alfred Hitchcock, 1941. La lumière d’un verre de lait – 9 Wild at Heart. David Lynch, 1990. La bonne fée Lumière – 10 The Third Man. Carol Reed, 1949. Une fenêtre pour seul éclairage – 11 Singin’ in the Rain. Gene Kelly et Stanley Donen, 1952. Les lumières d’un studio de cinéma – 12 On connaît la chanson. Alain Resnais, 1998. La lumière comme présage d’une relation – 13 Die Hard. John McTiernan, 1988. Les flashs de la joie – 14 Opening Night. John Cassavetes, 1977. Les reflets d’un fantôme – 15 The Talented Mr Ripley. Anthony Minghella, 1999, Disque de lumière – 16 A Prairie Home Companion. Robert Altman, 2006. Les lumières d’un diner typique américain – 17 Conclusion
• Appendice. Contributions
• Bibliographie
• Table de correspondance des titres anglais-français
• Table des matières
• Table des illustrations
• Index
• Remerciements

Editeur : EPFL Press

Auteur(s) : François Joss

Collection : Architecture

Publication : 24 mai 2024

Edition : 1^ère édition

Support(s) : Livre papier

Nombre de pages Livre papier : 460

Format (en mm) Livre papier : 270 x 180

Poids (en grammes) : 1

Langue(s) : Français

EAN13 Livre papier : 9782889155866